Si notre rendez-vous annuel des passionnés de photographie n'a pas lieu en novembre prochain, la 11ème édition des ZOOMS, 2 prix décernés l'un par la presse, l'autre par le public, se poursuit et proclamera les deux gagnants le 6 octobre! " PROGRAMME Autour des grandes marques mondiales, de la prise de vue à la retouche, l'impression et le partage de l'image, la manifestation propose un programme exceptionnel d'expositions inédites, de conférences et de rencontres avec les plus grands photographes, d'ateliers et de débats, un village de vente et une librairie. - 60 000 visiteurs attendus - Le salon réunit les plus grandes marques du monde de l'image, fabricants, importateurs, mais aussi écoles et groupements professionnels, qui viennent dévoiler leurs nouveautés et originalités. - De très nombreux exposants: Des produits et des solutions qui répondent aussi bien aux attentes des photographes professionnels que des amateurs. - La 11ème édition des Zooms: Afin d'encourager la profession de photographe, le Salon de la Photo a initié en 2010 les "Zooms", deux prix qui sont décernés, l'un par le public, l'autre par la presse spécialisée photo.

Conférence Salon De La Photo Sort

Du 5 au 9 novembre a lieu à Paris le Salon de la Photo. Comme chaque année, me direz-vous? Oui, en effet. Ce qui est nouveau pour moi, c'est que cette année j'y serai pour la première fois, et en prime j'y donne une petite conférence à l'occasion de la sortie du livre "Les secrets de la photo d'enfants". Moralité, si vous voulez venir m'écouter, ou si vous voulez juste passer me faire un petit coucou, rien de plus simple: il faut venir au salon de la photo le vendredi 6 novembre, et m'attendre à 17h sur le stand de l'Agora du Net (la conférence dure 1h environ). Je serai aussi sur le stand des Editions Eyrolles un peu avant et un peu après la conférence (stand 4B111). De quoi va-t-il s'agir? De photo d'enfants, bien sûr! Le thème sera "Photographier les enfants: 5 clés pour des images naturelles", mais il y aura un temps de discussion avec la salle assez large pour que vous puissiez me poser plein d'autres questions si vous le souhaitez. Bref, si vous êtes à Paris ou si vous passez par là, ce serait l'occasion de se voir!

Conférence Salon De La Photo Jean Coutu

On a, il me semble, davantage le réflexe de prendre le temps de sentir la scène, comme on devrait toujours le faire, en fait. Ce qui ne veut pas dire qu'on se prive de saisir des choses à la volée, comme je l'ai d'ailleurs appris à mes dépens. En fait il y a quelque chose de très curieux dans l'activité de modèle, parce que c'est un moment où on puise dans notre intimité pour le cadre professionnel, comme le ferait un comédien ou une comédienne, et qu'on doit de fait être à trois endroits en même temps. Celui où je donne, celui où je reçois (des instructions, un regard, une indication), et celui où je reste conscient ou consciente de tout ce qu'il y a autour. Il faut être totalement là, et totalement dans son corps, jusqu'au bout de chaque membre. Je vois beaucoup le modèle comme un catalyseur, non seulement de cette interaction particulière, mais de tout ce qu'il y a autour. Le décor ou son absence. La tenue ou son absence. Le hors-champ. Le fait de ne jamais savoir exactement où se trouve le bord du cadre.

Dans ta Cuve!, c'est une association qui promeut les procédés argentiques. Anaïs et Rémy, deux de ses membres, m'ont accueillie ce jeudi sur le stand (ou plus exactement sur l'Espace argentique) pour une conférence sur laquelle j'ai eu un peu carte blanche, et dont voici la vidéo, gentiment captée par Jean-Luc Manh. Comme vous le voyez, je ne suis toujours pas conférencière professionnelle, mais je fais de mon mieux pour m'améliorer à chaque fois. Je suis un peu partie en improvisation par moments, mais j'avais tout de même écrit les lignes générales de mon « discours » en amont; je voulais vous en partager le texte: ••• Quand j'ai commencé à poser, il y a neuf ans, j'étais rassurée par les photographes qui mettaient leur appareil en mode rafale. Ils me disaient que c'était parce qu'une bonne photo se jouait à l'instant, à la seconde près, au petit fragment d'émotion un instant ici, et le suivant enfui. Ils voulaient le capturer, cet instant, et surtout surtout ne pas lui laisser la moindre possibilité de s'enfuir.