Entrée en vigueur le 8 mai 2010 Lorsque l'homicide involontaire prévu par l'article 221-6 résulte de l'agression commise par un chien, le propriétaire ou celui qui détient le chien au moment des faits est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende lorsque: 1° La propriété ou la détention du chien est illicite en application de dispositions législatives ou réglementaires ou d'une décision judiciaire ou administrative; 2° Le propriétaire ou le détenteur du chien se trouvait en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants; 3° Le propriétaire ou le détenteur du chien n'avait pas exécuté les mesures prescrites par le maire, conformément à l'article L. 211-11 du code rural et de la pêche maritime, pour prévenir le danger présenté par l'animal; 4° Le propriétaire ou le détenteur du chien n'était pas titulaire du permis de détention prévu à l'article L. Article 221 6 du code pénal practice. 211-14 du code rural et de la pêche maritime; 5° Le propriétaire ou le détenteur du chien ne justifie pas d'une vaccination antirabique de son animal en cours de validité lorsqu'elle est obligatoire; 6° Il s'agissait d'un chien de la première ou de la deuxième catégorie prévues à l'article L.

  1. Article 221 6 du code pénal procedure
  2. Article 221 6 du code penal

Article 221 6 Du Code Pénal Procedure

5 ans d'emprisonnement; 75 000 euros d'amende. Dans le cas présent, l'infraction a été aggravée par le fait que l'infraction a été commise en réunion, ce qui, selon le Code pénal, correspond à une circonstance aggravante augmentant le quantum de la peine.

Article 221 6 Du Code Penal

Un décret n° 2022-657 du 25 avril 2022, résultant de la loi n° 2022-52 du 24 janvier 2022 relative à la responsabilité pénale et à la sécurité intérieure, est venu préciser les dispositions de procédure pénale applicables en matière de responsabilité pénale et de trouble mental. La loi n° 2022-52 du 24 janvier 2022 comme support du décret La loi du 24 janvier 2022 écarte, dans deux hypothèses, le bénéfice de l'article 122-1 du code pénal, à savoir de l'irresponsabilité pénale ou de l'atténuation de la responsabilité pénale, selon que le discernement ait été aboli, ou seulement altéré (E. Clément, Loi responsabilité pénale et sécurité intérieure: tu ne t'intoxiqueras point, Dalloz actualité, 7 févr. 2022; L. Leturmy, Les nouveaux liens entre substances psychoactives, perte du discernement et responsabilité pénale, AJ pénal 2022. 135; S. Pellé, De la responsabilité pénale, du trouble mental et de quelques autres dispositions en matière de sécurité intérieure, D. Article 221 6 du code pénal procedure. 2022. 519). Cela concerne d'abord l'hypothèse où l' abolition résulte de l'ingérence de substances psychoactives dans un temps très voisin de l'action, lorsque la consommation a été réalisée dans le dessein de commettre l'infraction, une infraction de même nature ou d'en faciliter la commission.
[... ] Cette appréciation littérale ce heurte cependant d'office, à l'imprécision de la notion d'autrui, car bien que l'application de ce qui n'est mentionné aux dispositions législatives, soit proscrit dans le cadre de l'interprétation littérale, il est impossible d'affirmer par une étude purement textuelle que le terme d'autrui ne réfère pas au cas de l'enfant à naître. Cour de cassation, assemblée plénière, 29 juin 2001 - L'article 221-6 du Code pénal et l'enfant à naître. Le devoir de pleine application de la loi pénale imposera ainsi le recours à une autre méthode d'interprétation stricte. L'impératif de pleine application de la loi pénale. Le juge est tenu d'un devoir de pleine application de la loi pénale, corolaire au principe d'interprétation stricte de cette dernière. ] Cet arrêt vient ainsi réaffirmer la visée réelle du principe de stricte interprétation de la loi pénale, qui n'est autre que l'application de la loi pénale. De ce qu'il ressort du l'arrêt, le législateur n'a en rien entendu exclure du cadre d'application de son texte, l'enfant à naître, ainsi en statuant comme si tel était le cas la cour d'appel à contredit aux dispositions de l'article 111-4 du Code pénal.