Franco-Américain ayant vécu à New York durant sa jeunesse, ce dernier a incité de grands noms, à l'image de JonOne, à venir créer à Paris. Nous lui disons merci! GALERIE Contact Le Pressionnisme 1970 – 1990, les chefs-d'œuvre du graffiti sur toile de Basquiat à Bando, jusqu'au 18 octobre à La Pinacothèque, 28 Place de la Madeleine, 75008, PARIS, France. Tél. : 01 42 68 02 01. Crédits photos Silver and Black never lie!! © Bando, photo Pierre Guillien – Studio Objectivement, The soldier © TD Kid 170, photo Pierre Guillien – Studio Objectivement, Mean disposition © Mode 2, photo Pierre Guillien – Studio Objectivement

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Avant que ne soient livrées devant nos yeux plus de 100 œuvres à savoir apprécier. Le tag et le graffiti à la naissance du Pressionnisme On s'intéresse d'abord à l' écriture, très importante dans le Pressionnisme, faisant le distinguo entre tag et graffiti. Les œuvres sans titre, mettant les lettres en lumière, se succèdent au départ de ce « voyage ». Puis très vite, les figures s'imposent. Elles peuvent être signature de l'artiste, comme la pin-up de Quick, qui expose ici son œuvre « Le poteau des flagellations ». Plus rare, Lady Pink a son autoportrait dans l'exposition. Après la grande première pièce, on peut s'enfoncer dans le labyrinthe de l'exposition. On continue de comprendre que le Street Art est un nouveau-né, sa première exposition dans un lieu officiel ayant eu lieu en 1974 au Musée des Sciences et de l'Industrie de Chicago. Et c'est ainsi, en engrangeant le maximum d'informations, que l'on rentre dans le « passage à l'abstrait », cet instant où les artistes font disparaître la lettre et le nom, si importants.

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/ Expositions Évènement passé Rendez-vous à la Pinacothèque jusqu'au 13 septembre 2015 pour l'exposition Le Pressionnisme 1970 – 1990, les chefs-d'œuvre du graffiti sur toile de Basquiat à Bando. L'exposition rassemble près d'une centaine d'œuvres, réalisées entre les années 1970 et 1990 par les plus grands maîtres du graffiti sur toile. Ces chefs-d'œuvre mettent en lumière l'histoire cachée de ce mouvement, injustement associé au tag et mal identifié par l'histoire officielle de l'Art. Si les toiles récentes d'art urbain sont une évidence pour le grand public qui les côtoie en galerie, peu savent encore que, depuis les années 1970, les artistes graffiti créent en atelier une véritable production sur toile, loin de la rue et du Street Art dans lequel on les cantonne. En effet, dès les origines, les graffeurs, parmi lesquels Coco et Phase 2, se regroupent autour d'Hugo Martinez au sein de l'UGA (Union of Graffiti Artists) pour exposer leurs œuvres dans les galeries. Andy Warhol approche et associe à son histoire deux artistes issus du graffiti, Keith Haring et Jean-Michel Basquiat (présenté dans cette exposition) couvrant les années 1970 à 1990.

A l'entendre parler, le Pressionnisme (néologisme issu de pressure art et du suffisme -isme propre aux Ecoles dans l'art) est l'une des seules écoles qui a permis de réunir des artistes autour d'un but. Dès l'entrée, on peut lire "depuis plus d'un demi-siècle, le marché de l'art et sa logique spéculative, alliés à la bêtise mondaine du monde culturel, n'ont plus donné naissance qu'à des individualités rongées par leur ambition de trouver la potion magique qui fera parler d'eux. [... ] La notion d'Ecole s'est perdue, celle de groupe a disparu. Et quand un groupe de révoltés commence dans les années 1970 à s'exprimer, s'affronter certes avec un langage peu orthodoxe, au point d'être catalogué rapidement comme "gangs de toxicos", personne de décèle l'émergence de ces talents cachés. " Au moins, c'est dit! Aussi, avec cette exposition, la Pinacothèque revient sur le début du Pressionnisme, ce mouvement mal identifié par l'histoire de l'art et injustement associé au tag. L'amalgame est facile, dû aux travaux des premiers peintres-écrivains new-yorkais, « The Writers ».