MONTRÉAL — Le Centre de prévention de la radicalisation menant à la violence (CPRMV) pourra poursuivre ses activités grâce à un financement de près d'un million $ octroyé par la Ville de Montréal. Cette somme de 975 000 $ s'ajoute à une aide de 225 000 $ offerte au printemps. Le centre avait été fondé en 2015 par la Ville de Montréal avec l'appui du gouvernement du Québec. La Ville faisait alors valoir qu'il était le premier organisme indépendant à but non lucratif avec cette mission de prévention de la radicalisation. Montréal affirme que le CPRMV a revu sa mission en privilégiant une approche communautaire misant sur l'éducation, la mobilisation et l'accompagnement auprès des personnes susceptibles de se radicaliser ou d'avoir des comportements haineux. «L'objectif sera désormais de miser sur des interventions ciblées et personnalisées pour les personnes à risque et leur entourage, soit celles qui n'iront pas forcément vers les institutions traditionnelles», a déclaré Rosannie Filato, responsable de la sécurité publique au comité exécutif de la Ville de Montréal, dans un communiqué diffusé mercredi.

  1. Centre de prévention de la radicalisation montreal francais

Centre De Prévention De La Radicalisation Montreal Francais

Un centre de prévention à la radicalisation menant à la violence sera mis sur pied à Montréal. Des jeunes violents qui s'engagent au sein de groupes radicaux y seront pris rapidement en charge. Leur famille pourra y obtenir du soutien et les intervenants des milieux scolaires, communautaires et de la santé pourront y obtenir des conseils. La Ville de Montréal et le Service de police de Montréal (SPVM) sont à l'origine de cette initiative qui fait suite aux attentats survenus à Saint-Jean-sur-Richelieu et à Ottawa ainsi que les départs de jeunes Montréalais soupçonnés de s'être engagés auprès des djihadistes en Syrie. Les commissions scolaires et les cégeps de la métropole ainsi que le Centre jeunesse de Montréal-Institut universitaire collaboreront à ce centre de prévention, de même que des organismes communautaires et des chercheurs universitaires. «Un centre de prévention va nous permettre de mettre nos expertises en commun, de travailler en amont et de se donner des pratiques plus efficaces qu'à l'heure actuelle», a indiqué lundi le chef de police, Marc Parent en conférence de presse.

Effectue le suivi sur la validité des prescriptions des usagers en demande d'admission; Ouvre les dossiers des usagers en collaboration avec le pharmacien; Inscrit les notes adéquates et nécessaires au dossier des usagers; Évalue les urgences et établit les priorités; Participe aux rencontres de l'équipe interdisciplinaire; S'assure de la mise en place et du respect des procédures et protocoles; Accomplit toute autre fonction connexe à la demande de son supérieur immédiat. COMPÉTENCES REQUISES Diplôme d'études collégiales en techniques infirmières ou diplôme d'une école en soins infirmiers reconnue par l'rmières et infirmiers du Québec. Membre de l'rmières et infirmiers du Québec. Avoir de l'intérêt ou de l'expérience auprès de toxicomanes ainsi que dans l'approche de la communauté thérapeutique; Initiative Discrétion Sens des priorités Capacité d'analyse de problème Connaissance de la suite Microsoft Office: Word, Excel, Outlook, Powerpoint Bilinguisme; Avoir de l'intérêt pour la clientèle aux prises avec des problèmes de toxicomanie; Capacité à établir des priorités dans l'organisation de son temps; Capacité à travailler en équipe et à établir des relations interpersonnelles; Capacité à communiquer verbalement; Capacité d'œuvrer dans un climat d'émotivité intense.