Un lycéen en rupture scolaire, Salvador Ramos, 18 ans, a ouvert le feu au fusil semi-automatique dans une école primaire, abattant également deux enseignantes avant d'être tué par les policiers. A Uvalde, la tristesse se mêle encore et toujours à l'incompréhension et à la colère. Deux jours après la mort de 21 personnes, dont 19 enfants, dans la tuerie de l'école primaire Robb commise par un déséquilibré de 18 ans à l'aide d'un fusil d'assaut acheté légalement, cette ville située à l'ouest de San Antonio, au Texas, tente tant bien que mal de panser ses plaies. Alithia, Eliana, Xavier... Les familles des victimes de la fusillade au Texas pleurent leurs enfants. La tragédie, qui repose l'éternelle question de la limitation des armes à feu aux Etats-Unis, a assommé de douleur les 16. 000 habitants d'Uvalde, en majorité hispaniques. Un millier de personnes s'étaient rassemblés mercredi soir pour une veillée dans une salle de rodéo communale. "C'était une gentille petite fille" Parmi eux, Ryan Ramirez, qui a perdu sa fille Alithia, 10 ans, lors de la tuerie, et qui affirme avoir "le coeur brisé. "

École Militaire Pour Mineur De 11 Ans Sur

Salvador Ramos a ensuite tiré sur le bâtiment de l'école avant de finalement entrer dans l'établissement. Selon ce responsable, les forces de l'ordre ont reçu un appel à 11h30 les alertant de la présence d'un homme armé. Les premiers policiers sont arrivés sur les lieux "quatre minutes" après que l'assaillant se fut introduit dans l'école. École militaire pour mineur de 11 ans sur. "Ils entendent des coups de feu, prennent des balles, se replient et s'abritent", a poursuivi Victor Escalon. Des renforts sont appelés et les policiers encerclent l'établissement. Mais c'est surtout le délai pour neutraliser l'assaillant qui interroge. "Environ une heure" s'est écoulée entre l'entrée du tireur dans l'école et le lancement de l'assaut, a reconnu Victor Escalon. Alors que le tireur était à l'intérieur de l'école, p lusieurs parents rassemblés devant l'établissement ont témoigné de leur incompréhension. "Il y avait au moins 40 agents armés jusqu'aux dents, mais ils n'ont rien fait jusqu'à ce qu'il soit trop tard", a estimé auprès d'ABC * Jacinto Cazares, père de Jacklyn Cazares, l'une des victimes, âgée de 10 ans.

École Militaire Pour Mineur De 11 Ans Francais

Veuillez sélectionner toutes les cases qui s'appliquent: Un lien, un bouton ou une vidéo ne fonctionne pas Il y a une erreur d'orthographe ou de grammaire Les renseignements sont incomplets L'information n'est plus à jour ou est erronée Message d'erreur à l'ouverture de la session lorsque je tente d'accéder à un compte (ex. Mon dossier Service Canada) Accès CléGC Accès SecureKey Service de Concierge (justificatifs d'identité bancaires) Problème avec le Code d'accès personnel (CAP) ou avec le Code d'accès (CA) de l'assurance emploi Problème lié à la validation du numéro d'assurance sociale (NAS) Autre erreur lors de l'ouverture de session qui ne figure pas sur cette liste Je n'arrive pas à trouver ce que je cherche Autre problème qui ne figure pas sur cette liste

"Nous lui avons dit que nous l'aimions et que nous irions la chercher après l'école. Nous ne savions pas que c'était un au revoir. Elle était gentille, douce et appréciait la vie. École militaire pour mineur de 11 ans le. Elle allait être une star du softball et avait un brillant avenir, que ce soit dans le sport ou à l'école. S'il vous plaît, faites savoir au monde que notre bébé nous manque", ont-ils dit auprès du média américain. Les familles des deux adultes disparues, Eva Mireles et Irma Garcia, ont également réagi, soulignant que ces deux enseignantes avaient tenté, jusqu'au bout, de protéger les enfants. "Dément" L'enquête visant à comprendre le déroulé et les circonstances de la tuerie s'annonce longue. S'adressant aux journalistes, le gouverneur du Texas Greg Abbott a révélé que le meurtrier, Salvador Ramos, qui a été tué par la police, avait tiré sur sa grand-mère de 66 ans en plein visage avant de se rendre à l'école primaire Robb. Le jeune homme n'avait pas d'antécédents judiciaires chez les mineurs ou de problèmes psychologiques connus des services de santé locaux, avait précisé le gouverneur, le qualifiant pourtant de "dément".