Estuaire De La Gironde Vu Du Ciel
Elle attire aussi l'attention sur les nombreux liens qui existent entre le patrimoine culturel et le patrimoine naturel. Accessible à tous, l'exposition retrace l'histoire et l'évolution de ces paysages qui n'ont cessé de se transformer au cours des siècles, de manière naturelle ou par la main de l'homme. Elle présente une sélection de photographies aériennes exceptionnelles, prises à l'occasion de l'opération d'inventaire. Exposition réalisée en 2014 par la Région Poitou-Charentes, Service de l'inventaire du patrimoine culturel. Conception graphique: Jean Jay, Jérémy Bozier. Au large de l’estuaire de la Gironde, une spectaculaire floraison printanière de phytoplancton vue par le satellite Envisat - Un autre regard sur la Terre. Photographies Région Poitou-Charentes, Service de l'inventaire du patrimoine culturel: G. Beauvarlet, C. Rome. Exposition photographique « Paysages et patrimoines de l'estuaire de la Gironde, d'une rive à l'autre » Réalisée par la Région Poitou-Charentes et la Région Aquitaine, en partenariat avec le Conseil Général de la Gironde, cette exposition propose quatorze photographies sur les paysages et patrimoines agricoles, viticoles, portuaires, hydrauliques et industriels de l'estuaire de la Gironde.
Estuaire De La Gironde Vu Du Ciel Et De L'environnement
La côte Atlantique, l'estuaire de la Gironde et le Médoc... vus du ciel! | Avion de tourisme, Cote atlantique, Vue du ciel
Le manuscrit de Saint-Nazaire De Giuseppe Conte Traduit de l'italien par Jean-Baptiste Para M. E. Estuaire de la gironde vu du ciel yann arthus bertrand. T (Maison des Ecrivains Etrangers et des Traducteurs de Saint-Nazaire) Arcane 17 Première partie DIALOGUE DES GRUES ET DU VENT Le vent descendait chaque nuit dans le port de Saint-Nazaire. Il passait par la plage noire, soulevait le sable noir, déchaînait des tourbillons d'algues et de coquillages, puis il enjambait les môles, franchissait l'écluse en jetant un regard de défi au pont-levant –un jour ou l'autre c'est moi qui te hausserai, semblait-il dire –et il entrait dans le bassin. Il lui plaisait de s'amuser sur ce rectangle d'eau étale, qui ne connaissait ni vagues ni marées: il le rayait de gerçures, creusait des sillons qui naissaient convulsivement l'un derrière l'autre, comme pour obéir à ses ordres. Enfin il posait le pied –lui qui à vrai dire en était dépourvu, et qui n'avait pas non plus de mains, biens que parfois il eût tout l'air d'un vagabond au large manteau et aux brodequins ferrés –il posait le pied sur les quais, au bord des hangars, et là il rencontrait les grues.