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La pression pour mieux encadrer l'islam de France avait encore augmenté avec l'assassinat de Samuel Paty et l'attentat de Nice. Ce projet a été confié au CFCM, son principal interlocuteur sur les questions d'organisation du culte musulman en France. Le CNI doit délivrer un agrément aux imams en fonction de leurs connaissances et de leur engagement à respecter un code de déontologie. Les neuf fédérations de mosquées qui composent le CFCM, régulièrement critiqué pour son manque de représentativité, devaient d'abord se mettre d'accord début décembre sur une "charte des valeurs républicaines". "Malheureusement, la composante islamiste au sein du CFCM, notamment celle liée à des régimes étrangers hostiles à la France, a insidieusement bloqué les négociations en remettant en cause presque systématiquement certains passages importants" de la charte, critique le recteur de la grande Mosquée de Paris. Conseil imam par telephone canada. Des "membres de la mouvance islamiste" auraient fait croire "que cette charte avait pour ambition de toucher à la dignité des fidèles musulmans", détaille Chems-Eddine Hafiz.

Suite à ce refus, la Grande mosquée et trois autres fédérations avaient quitté le bureau exécutif pour le laisser aux cinq fédérations restantes, dont les trois ayant refusé la charte qui dénonçait notamment «l'instrumentalisation» politique de l'islam, qui proscrivait «l'ingérence» d'Etats étrangers et réaffirmait la «compatibilité» de l'islam avec la République. Le CFCM qui se voulait être l'interlocuteur historique des pouvoirs publics concernant le culte musulman, comme le rappelle Le Parisien, se retrouve divisé alors que son bureau s'oppose à l'adoption des chartes demandées par le gouvernement. En face, la Grande mosquée et les fédérations qui ont quittés la CFCM, à savoir le Rassemblement des musulmans de France, Musulmans de France et la Fédération française des associations islamiques d'Afrique, des Comores et des Antilles, entendent réfléchir à la «refondation de la représentation du culte musulman en France» pour prendre la place d'interlocuteur de confiance entre l'Etat et les musulmans de France.