Alexandre Gannier, docteur en écologie marine, assure que le mâle orque adulte qui s'est égaré dans la Seine a encore de la "tonicité" mais que, s'il ne reçoit pas d'aide, il va mourir. Article rédigé par Publié le 27/05/2022 08:06 Mis à jour le 27/05/2022 08:15 Temps de lecture: 2 min. Aperçue pour la première fois le 16 mai à l'embouchure de la Seine entre Honfleur et Le Havre, près du Pont de Normandie, une orque se trouve désormais entre Le Havre et Rouen (Seine-Maritime). Elle est dans un état de santé très dégradé et "son pronostic vital est engagé", selon le Groupe d'études des cétacés du Cotentin (GECC). On peut lui "porter assistance" assure cependant vendredi 27 mai sur franceinfo Alexandre Gannier, docteur en écologie marine, spécialiste des cétacés et président du groupe de recherche sur les cétacés. D'après lui, des personnes ayant l'expérience des cétacés, comme par exemple des membres du GECC (groupe d'études des cétacés du Cotentin), pourraient "avec un canot semi-rigide, avec beaucoup de douceur, beaucoup de patience, gentiment suggérer à l'orque la direction à prendre pour sortir de ces méandres de la Seine".

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"Je dirais qu'il y a de très bonnes chances qu'on retrouve d'autres dépouilles à mesure que le niveau de l'eau baisse", a ainsi estimé le lieutenant Ray Spencer auprès de KLAS-TV. Catastrophe écologique Si l'origine criminelle ou accidentelle de ces morts demeure donc à établir, la catastrophe écologique est quant à elle indéniable. 40 millions de personnes sont d'ores et déjà affectées par l'assèchement de ce Lake Mead qui dessert en eau potable sept États, ainsi qu'une partie du Mexique, et dont 77% des ressources alimente l'agriculture environnante. De surcroît, d'après l'expertise citée ici par CNN, la situation pourrait encore se dégrader, avec un lac potentiellement réduit à 19% de sa capacité maximale en septembre 2023. Les autorités tentent cependant de réagir. Ainsi, 200 millions d'investissements fédéraux et locaux viennent d'être débloqués, selon la radio publique NPR, afin d'assurer la pérennité du réservoir.

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Les Grecs de Mariupol notamment étaient généralement bilingues, voire trilingues, maitrisant le grec maternel et le russe communicationnel principalement. Cette xénophobie s'est exprimée par des brimades et des vexations () envers ceux qui, sans être russes, ne parlaient pas l'ukrainien. Ce sont aussi les Hongrois ( /ukraine-defends-education…), les Bucovènes (parlant roumain) ou même les Ruthènes (parlant le rusyn, qui est un continuum de l'ukrainien mais forme une langue séparée au même titre que le biélorusse, appartenant au même groupe linguistique). C'est enfin à l'aune de la loi sur l'éducation qui impose l'ukrainien comme seule langue possible d'enseignement, combinée à la loi de 2019 sur le fonctionnement de l'Etat, qui pénalise ceux qui ne maîtrisent pas l'ukrainien. Pour autant, ce gouvernement ukrainien qui prétend aspirer à l'Union Européenne ferait bien de s'inspirer de ses principes et notamment de la protection des langues des minorités. /european-charter-regional-or… Si on relit l'article avec un peu de recherche (tout au plus 20 minutes), on peut comprendre: 1-les vacances d'été ne sont pas supprimées pour "formater" les enfants mais parce qu'ils ont été privés de classe à compter de mars, l'objectif était de pouvoir leur faire reprendre les cours fondamentaux et ne pas perdre une année scolaire.

"La résilience entraîne une projection du sujet vers un avenir meilleur si attrayant qu'il se donne les moyens physiques d'y arriver", explique-t-elle. Alors que le corps est souvent marqué négativement par les maux psychologiques (on appelle cela la somatisation), l'inverse peut aussi être vrai, la force mentale sert d'engrenage pour le corps. La résilience chez les femmes Chez les femmes, la résilience prend une forme particulière: "on a été éduquées à se préoccuper des autres avant nous. Se préoccuper de notre propre bien-être en tant que femme, c'est être égoïste, si l'on schématise. On est, de fait, souvent déconnectées de nos besoins et de nos limites. Et la première chose que je constate chez les patientes en parcours de résilience, c'est un alignement: elles sont capables de se focaliser sur elles-mêmes comme jamais auparavant. Elles prennent conscience que les autres ont la responsabilité de leur propre vie, que cela ne repose pas sur leurs épaules. " Les femmes résilientes sont alors davantage capable de "faire la différence entre l'essentiel et le superflu, entre le bienfaisant et le toxique", illustre Ariane Calvo.