C'est ce qui s'appelle être en bout de course! Plus le palan est puissant, moins la course est longue. Dans le cas d'un palan 10:1, il faudrait reprendre 10 mètres de cordage pour en tendre 1 mètre! A l'inverse, un winch est un système de démultiplication à course illimitée. Prenons l'exemple d'un winch de 6 servant à hisser une grand-voile dont la drisse ferait 10 m. Palan d écoute de grand voile pour. Si on devait remplacer ce winch par un palan d'une même force (rapport de démultiplication 6:1), il faudrait que la drisse soit six fois plus longue, soit 60 mètres… Le palan est donc un système viable à condition qu'il n'y ait pas des kilomètres de bout à « avaler »! Les frottements, ennemis du rendement Dans un monde parfait, une traction de 25 kg sur un palan à huit brins (8:1) développerait une charge de 200 kg (8 x 25 kg). C'est le cas d'un équipier qui borderait à une main l'écoute de grand-voile d'un catamaran de sport, un palan composé de deux poulies à quatre réas. Sauf qu'à chaque passage du cordage dans un réa, les frottements (ou la friction) entraînent une perte de charge qui est loin d'être négligeable.

  1. Palan d écoute de grand voile pour
  2. Palan d écoute de grand voile de

Palan D Écoute De Grand Voile Pour

Double, triple: utilisé pour les palans. Plat pont: Utilisée pour les écoutes de foc et les voiles d'avant en général. Debout: Montée sur ressort, elle ne tape pas sur le pont. Pour les voiles d'avant. Winchs: Fonctionne comme une poulie classique mais permet aussi de retenir le cordage. Ouvrantes: Indispensable à bord. Pour installer un barber ou en cas d'urgence, pour reprendre une manœuvre sous charge. Palan d'écoute de grand-voile avec poulies LEWMAR / 10 mm seulement 279,95 € | SVB. Toutes ces poulies possèdent un réa. La constitution de ce réa est le plus important. C'est le mécanisme interne de la poulie que nous allons maintenant décrypter. ROULEMENT A friction: Poulies classiques. Parfaitement adaptées aux charges statiques, (bastaque, drisse…). Elle possède un réa en plastique qui tourne autour d'un axe en bronze ou en inox. Elle est résistante, mais peu rapide car sous la charge les frottements sont importants. Friction et billes latérales: Elle est agrémentée de roulements à billes. Cela permet d'enrouler rapidement beaucoup de cordage sans charge et de tenir la charge en statique sur le réa de base.

Palan D Écoute De Grand Voile De

Ce palan 6 brins 2 vitesses Garhauer est tout inox et tous les réas sont monté sur billes. L'avantage de ce palan est qu'il ne peut vriller, le cordage travaillant dans deux plans perpendiculaires. La poulie double supérieure est fixe, par contre la poulie violon double inférieure a sa manille montée sur un émerillon. Palan d écoute de grand voile de. L'écoute de diamètre 10 mm (maximum 12 mm) n'est pas livrée avec le palan (les longueurs pouvant varier énormément d'un voilier à l'autre). Nous pouvons cependant vous la fournir (cf LIROS cordages), pour cela il faudra mesurer la longueur du palan avec la bôme débordée au maximum, mulitiplier par 6 et ajouter 3 m pour ne pas avoir de surprise lors d'une manipulation.

Utiliser l'écoute Une fois hissée et sa tension bien réglée, l'écoute a besoin de prendre une forme correcte. Une écoute bordée se traduit par un bôme plus bas et donc un gauchissement moins accentué de la partie supérieure de la voile. Palan d écoute de grand voile d'ombrage. Vice versa, une écoute l â chée comporte un bôme plus soulevé et un gauchissement plus accentué. En général, sauf si la voile est si usée qu'elle semble un sac sans forme, la partie supérieure de la voile doit être parallèle au bôme afin d'obtenir le correct gauchissement de la grand-voile. Il en résulte que, si la partie supérieure est au vent, cela signifie que la voile a peu de gauchissement et elle est donc trop fermée; si, au contraire, la m ê me section est orientée sous le vent, le gauchissement est maximal et donc la voile trop ouverte. Le correct gauchissement de la voile est un aspect très important parce que l'intensité du vent varie selon la hauteur. Le vent réel qu'on perçoit dans le cockpit ou, mieux, au niveau du bôme est moins puissant que celui qu'on perçoit sur le m â t.