L'objectif, a dit la ministre, est de mettre en place une vision globale pour la promotion de la famille en tant que levier d'un développement social, inclusif et durable.

Frère Luc : « Pour Aider Mes Frères, Je Dois Être Attentif À Mes Émotions »

"Le message que je veux envoyer au monde est que la communauté trans doit pouvoir faire ce qu'elle veut comme n'importe qui". Son personnage de diva va prendre une place de plus en plus importante dans la vie d'Haider. A l'image de la pancarte publicitaire géante à l'effigie de Biba qu'il est obligé de garder une nuit dans la maison familiale pour un problème de logistique. - "Toujours en lutte" - Effet domino dévastateur: comme Haider a trouvé un travail, sa femme Mumtaz (Rasti Farooq) est priée de lâcher le sien et de rester à la maison pour aider sa belle-sœur qui a quatre enfants. Un engrenage infernal. Mumtaz dépérit comme un insecte coincé dans un bocal quand "Madame" papillonne sous les lumières du cabaret où elle se produit, tentant en coulisses de se fabriquer une vie de couple. "Les femmes se battent contre leur domestication et pour les femmes trans c'est pratiquement l'inverse, elle se battent pour une place dans leur foyer. Frère Luc : « Pour aider mes frères, je dois être attentif à mes émotions ». Elles se battent pour rester dans leur famille, pour ne pas se retrouver à la rue", développe le réalisateur.

Les Gayat (Familles Nombreuses) Vont-Ils Revenir Dans L’émission De Tf1 ? Ils Répondent À La Rumeur

Aawatif Hayar a, à cet égard, mis en avant les multiples stratégies et actions mises en place par son département pour la promotion de la petite enfance, notamment la stratégie 2021-2026 du pôle social et le concept GISR (Green innovative social regeneration) vivant à harmoniser l'action de l'Agence de développement social, de l'Entraide nationale et de l'Institut national de l'action sociale avec la société civile et les différents acteurs concernés. Les Gayat (Familles nombreuses) vont-ils revenir dans l’émission de TF1 ? Ils répondent à la rumeur. La représentante de l'UNICEF à Rabat, Speciose Hakizimana, a de son côté, insisté sur la nécessité de la promotion de la petite enfance en vue de réaliser les objectifs de développement durable (ODD). La responsable onusienne, qui a félicité le Maroc d'avoir récemment étendu la période du congé de paternité à 15 jours, a passé en revue les problèmes auxquels sont confrontés les petits enfants, notamment la malnutrition, la violence et les différentes formes d'abus. Photo Mounir Mehimdate Sur ce registre, elle a plaidé pour l'élaboration d'une politique intégrée et intersectorielle de promotion de la petite enfance, l'instauration d'un mécanisme efficace de coordination et de suivi, le développement d'un système d'information offrant des données sur les principaux indicateurs de suivi de la petite enfance, et la mise en place d'un programme conjoint de soutien aux parents afin de les accompagner dans la prise en charge de l'enfant.
En émergent, les figures d'Alireza qui déteste le conflit et tente en permanence d'apaiser les tensions et celle de Leila, plus courageuse, mais brimée par le poids d'une société patriarcale. Le bras de fer engagé entre les deux va conduire à une série de décisions toutes plus catastrophiques les unes que les autres sous le regard éperdu du chef de famille dont la santé décline. Dans cette mécanique impitoyable, où la fatalité prend toute sa part, on reconnaît l'influence d' Asghar Farhadi et sa façon de partir de l'intime pour dresser le portrait d'une société dans toute sa complexité. Mais Saeed Roustayi y apporte une tonalité plus sociale. À travers les péripéties de cette fratrie, le réalisateur évoque les difficultés matérielles de tout un peuple condamné à la précarité, renonçant aux études et au mariage faute de moyens, et incapable d'envisager un avenir meilleur. L'égoïsme, l'acrimonie et la conflictualité en constitue le revers le moins glorieux. Seule Leila, au milieu de tout ça, semble incarner la voie de la raison mais son statut ne lui permet pas d'être entendue.