Pour ajouter à notre frustration, le présent DVD, n'offre qu'une unique et modeste piste stéréo alors que le support s'avérait idéal pour une expérience totale en multicanal… Artistes et producteurs avaient toutes les cartes en main pour exploiter au mieux le DVD, en totale cohérence avec les besoins de l'œuvre! Mais, au final, le plaisir du son et sa répartition signifiante se voient morcelés sur deux médias. Certes, cela ne saurait gâcher l'enthousiasme évident que suscite l'événement ici immortalisé, mais qui s'accompagne d'un petit pincement au cœur de voir filer ce qui aurait pu tenir de la perfection, tant musicale que vidéographique. Le SACD Alessandro Striggio - Messe pour 40 et 60 voix édité par Glossa, propose en exclusivité l' Agnus Dei à 60 voix de Striggio remplacé sur le DVD critiqué ci-dessus par le Memento de Claudio Monteverdi pour 8 voix d'hommes et par une courte improvisation à l'orgue. Messe a quarante voix du nord. En outre ce disque propose un mixage multicanal 5. O encodé en DSD de toute beauté.
  1. Messe a quarante voix du nord
  2. Messe a quarante voix 4

Messe A Quarante Voix Du Nord

De telles œuvres, sont extrêmement rares et elles posent forcément la question de la spatialisation des choeurs. Si l'équilibre entre chanteurs et musiciens et avec le public est déjà difficile à réaliser, plus que cela il semble quasi impossible que cette démesure de la musique colossale puisse créer une émotion autre que celle d'un simple émerveillement devant un prodige. Messe a quarante voix 4. Et pourtant ce soir, c'est donc bien au-delà de cela que nous sommes allés. Reconstituant une messe complète à partir de la messe et d'un motet à 40 voix d'Alessandro Striggio, Hervé Niquet a complété les parties manquantes avec des pièces (Laetatus sum, Miserere et Magnificat) d'Orazio Benevoli. Ce musicien, du début du XVIIe siècle, est considéré comme l'un des grands représentants de ce style monumental italien. Il partage avec Striggio une technique de composition. Cette dernière consistait à reprendre pour unifier les cinq parties d'un ordinaire de messe une musique aussi bien sacrée que profane, des madrigaux comme c'est le cas dans la Messe de Striggio.

Messe A Quarante Voix 4

Le marquis Alessandro Striggio (I) (né en 1537 ou 1538 à Mantoue et mort le 29 février 1592 dans cette même ville) est un instrumentiste et compositeur italien de la Renaissance. Biographie [ modifier | modifier le code] La page de titre de ses publications le mentionne comme gentilhuomo mantovano, un gentilhomme de Mantoue; il semble qu'il ait été le fils naturel d'un noble de Mantoue qui l'aurait désigné légataire universel en 1547, lui assurant fortune et titre [ 1]. Striggio jouit en effet d'un rang social assez élevé pour que Cosme I er de Toscane, duc de Florence, l'envoie comme émissaire à la cour d' Angleterre en 1567. Messe a quarante voix 2. Plus tard, il fut fait marquis et, à sa mort, il était grand chancelier de la cour des Gonzague à Mantoue [ 2]. Entre environ 1559 et 1584, Striggio fut le principal compositeur à la cour des Médicis à Florence. Striggio fut un violiste réputé dont le jeu fut décrit par Bartoli: « il joue à quatre voix à la fois avec un son d'une telle élégance et d'une telle plénitude qu'il épate les auditeurs » [ 3].

Le marquis Alessandro Striggio (I) (né en 1537 ou 1538 à Mantoue et mort le 29 février 1592 dans cette même ville) est un instrumentiste et compositeur italien de la Renaissance. Biographie La page de titre de ses publications le mentionne comme gentilhuomo mantovano, un gentilhomme de Mantoue; il semble qu'il ait été le fils naturel d'un noble de Mantoue qui l'aurait désigné légataire universel en 1547, lui assurant fortune et titre [ 1]. Striggio jouit en effet d'un rang social assez élevé pour que Cosme I er de Toscane, duc de Florence, l'envoie comme émissaire à la cour d' Angleterre en 1567. Messe A Quatre Voix: William Byrd: Amazon.fr: CD et Vinyles}. Plus tard, il fut fait marquis et, à sa mort, il était grand chancelier de la cour des Gonzague à Mantoue [ 2]. Entre environ 1559 et 1584, Striggio fut le principal compositeur à la cour des Médicis à Florence. Striggio fut un violiste réputé dont le jeu fut décrit par Bartoli: « il joue à quatre voix à la fois avec un son d'une telle élégance et d'une telle plénitude qu'il épate les auditeurs » [ 3].