Porteuses d'informations précieuses pour les généalogistes et les chercheurs, les listes de passagers sont des documents régulièrement sollicités. Pour répondre à cet engouement, il est désormais possible de consulter sur cette page l'intégralité de nos listes pour la période 1864-1945 Il s'agit de l'ensemble des listes de passagers à bord des navires de la Compagnie Générale Transatlantique effectuant la ligne Le Havre – New York entre 1864 et 1945. Beaucoup de ces listes ont disparu ce qui explique leur nombre restreint. Quant aux listes de passagers de la Compagnie des Messageries Maritimes, l'association n'en détient aucune.

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1999 004 0919 Rapport de voyage du paquebot Champlain (CGT 1932), du 19 juillet au 5 août 1939. 1997 004 4969 Certificat de voyage inaugural du paquebot Normandie (CGT 1935). 1997 004 6283 Guide officiel des passagers pour la Compagnie des Messageries Maritimes. 1997 002 Personnel Affaires sociales, emploi, formation, personnel navigant, personnel sédentaire Dossier de personnel du médecin Alexandre Yersin à la Compagnie des Messageries Maritimes. 1997 002 1743 Dossier de personnel de Paul Prunetti à la Compagnie des Messageries Maritimes. 1997 002 1838 Fiche individuelle de Guy Choplin à la Compagnie Générale Transatlantique. 1997 004 1188

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A la suite de cet événement, plusieurs officiers, officiers-mariniers et marins de la Lorraine-II qui se distinguèrent seront décorés. L'Ouest-Éclair du Mercredi 24 mai 1916 Rebaptisé "La Lorraine II", en mode camouflage... Désarmé le 1er avril 1916 pour une remise en état complète, il est réarmé le 23 mars 1917 sous son nom d'origine, il appareille de Brest le 15 novembre avec la mission Joffre - Viviani à destination de New-York. Ernest Louis Antoine MAURRAS Le retour à la vie civile Après la Première Guerre Mondiale, le navire est remis en service sur la ligne Le Havre-New York (février 1919). Il effectue son dernier voyage le 20 décembre 1922 quand il quitte Le Havre pour Saint-Nazaire en vue de sa démolition. Fiche technique Nom de la compagnie Compagnie générale transatlantique Date d'entrée en service 1900 Date de fin de service 1922 Longueur 170 m Largeur 18, 26 m Jauge brut 11 168 tonneaux Vitesse 20 noeuds Passagers de 1ere classe 288 Passagers de 2e classe 116 Passagers de 3e classe 552 Sources et bibliographie Wikipédia, l'encyclopédie libre Paquebot (par Hervé Hamon) Les Paquebots: Ambassadeurs des mers (par Pierre-Henri Marin)

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On a procédé différemment pour ILE DE FRANCE. La coque reposait sur un berceau posé lui-même sur un double chemin de glissement, rendu plus lisse par une couche abondante de suif. Pour retenir le navire sur cette pente, on avait ajusté symétriquement deux verrous hydrauliques auxquels s'ajoutait l'effet des tins secs, surfaces de bois non suiffées formant frein et qu'on retire au moment de la mise à l'eau. Deux groupes de vérins hydrauliques, dont la poussée équivalait à 400 tonnes, étaient disposés de gauche à droite. A un signal donné, tandis que la marraine, Mme Fould, coupait le ruban symbolique, les verrous de décrochage furent manœuvrés et les vérins entrèrent en action. On vit jouer quatre pistons géants allongés hors de leur cylindre; et l' ILE DE FRANCE démarra majestueusement sur la pente lubrifiée par 26. 000 kilos de suif. Ce fut alors la ruée pittoresque des pilleurs de suif montés sur de petites embarcations, obstinés à leur fructueuse cueillette malgré deux lances croisant leurs jets à l'entrée du bassin de lancement.

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Cette manœuvre aurait sûrement fait surprendre la Lorraine, mais celle-ci à la faveur du brouillard sut s'échapper. Elle avait couru un terrible danger, car les ordres transmis d'un navire allemand à l'autre portaient de couler le transatlantique. A bord, malgré cette chasse émouvante, l'équipage demeura parfaitement calme. Les mobilisés seuls donnèrent quelque inquiétude. Le voisinage des ennemis enthousiasmait les marins au point qu'ils perdaient toute prudence; ne s'avisèrent-ils pas un jour de sonner le clairon, la charge. La Lorraine va prochainement quitter Le Havre pour se joindre à notre flotte de guerre comme croiseur auxiliaire. » Au service de la patrie En août 1914, il est converti en croiseur auxiliaire et rebaptisé LORRAINE II. Il participe alors au transport aux Dardanelles (Turquie actuelle) des troupes de la première division du corps expéditionnaire en mars et avril 1915, puis de la seconde division en mai. Début 1916, il participe avec « La Savoie » au transfert de 46 000 soldats serbes de Corfou à Salonique.

Tous furent unanimes: " Avec vous, nous sommes sûrs de passer. " Et le commandant déclara: " Je ferai voir aux prussiens ce que c'est que de bonnes hélices. " Le paquebot leva l'ancre le 5 août à midi. Les forts américains le saluèrent d'une salve. A bord, les équipages anglais et américains rangés sur le pont poussaient des hourras. Les remorqueurs de l'Hudson et de la baie saluaient à coup de sifflet. Majestueusement, le grand transatlantique s'en allait vers le devoir et vers le danger. A six heures, on aperçut le croiseur allemand Dresden. La Lorraine l'eut vite distancé, mais elle ne tarda pas à être avertie de la présence de deux autres navires allemands, le Strasbourg et la Carlsruhe qui guettaient son passage. Les deux bateaux communiquaient par T. S. F. Les télégraphistes de la Lorraine interceptèrent leurs messages et l'on put ainsi repérer leur position: ils étaient tous deux à 25 milles du transatlantique et cherchèrent à s'en approcher pendant deux jours et demi. Le dernier jour, les ordres leur enjoignirent de se rapprocher à dix milles.