Sur Twitter ou dans la section des commentaires de son blog, de nombreux internautes ont réagi au dernier billet de Suzette Sandoz, ancienne députée libérale au Grand Conseil vaudois, ancienne conseillère nationale et professeure honoraire de droit de la famille et des successions. Il est intitulé: «Peut-on vraiment parler d'un "droit à l'avortement"? » (les guillemets sont d'origine). Devant l'émotion suscitée, Le Temps apporte quelques éléments de réponse. Sur la forme: contrairement à ce que laissent penser certains commentaires sur Twitter, Le Temps n'a pas choisi de publiciser ou promouvoir ce blog particulièrement. Si ce billet est apparu sur le fil Twitter de notre titre, c'est le cas de tous les billets de tous nos blogs, via une procédure automatisée. Nous rappelons par ailleurs que les blogs du Temps sont parfaitement indépendants de la rédaction: ils n'impliquent aucune participation, aucun engagement de notre titre (qui selon le droit en est cependant responsable comme éditeur).

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Simeon Ce regard endormi en met plein la vue aux amateurs de tuning. Simeon Avec l'aide de deux amis (Tom Linder et Andreas Imboden), elle a fondé sur les réseaux sociaux le groupe «» dont l'objectif est d'organiser des meetings intermarques pour les amateurs de tuning. «Tout le monde est bienvenu, à condition de savoir se tenir», déclare la jeune femme. En clair, ceux qui veulent y participer s'engagent à ne pas faire hurler leur moteur à l'arrivée et au départ. Les burn-outs et les sound checks y sont également bannis. Enfin, l'accent est mis sur les déchets: «Ceux qui produisent des déchets doivent aussi se charger de les débarrasser», explique la fan de tuning. Ceux qui ne respectent pas les règles seront signalés à la police qui enregistre leur plaque d'immatriculation. Cette photo est parfaite en guise de fond d'écran! J. G. Pixel Couture Le camouflage de l'«Interceptor RS 3» attire tous les regards. J. Pixel Couture Avec la Mazda RX-8, un moteur rotatif est également de la partie.

Le Cyber Security Threat Radar de Swisscom. Les risques liés aux technologies de l'information ont toujours existé, mais dans notre société 100% numérique, ils prennent une autre dimension. A la suite de différentes menaces connexes au coronavirus et à la guerre en Ukraine, Swisscom publie un nouveau Cyber Security Threat Radar, très instructif. Ainsi, selon le puissant opérateur, le flot des cybermenaces reste élevé, notamment pour les entreprises. L'instauration du télétravail pour de nombreux collaborateurs afin de faire face à la pandémie avait ouvert la porte à de nouvelles méthodes d'attaque. Aujourd'hui, le niveau de menace a fortement évolué en raison de la guerre en Europe. Nouvelles menaces, selon Swisscom Le Cyber Security Threat Radar de Swisscom met en lumière de nouvelles menaces, notamment le «Concentration Data & Cloud Services». Selon Swisscom, lorsqu'une entreprise utilise plusieurs services nuagiques différents, souvent de plusieurs fournisseurs, cela offre une plus grande flexibilité, mais multiplie aussi les interfaces et accroît les possibilités d'attaque.