Le recueil Les Châtiments lui coûtera un exil à cause de ses opinions politiques. Les Contemplations est une oeuvre plus personnelle composée de deux parties « autrefois » et « aujourd'hui » la coupure entre ces deux parties est la mort de sa fille Léopoldine en 1843. La première partie, comporte des poèmes gais, sur l'amour, la jeunesse…. Victor Hugo 1181 mots | 5 pages analytique 2 - Victor HUGO (1802-1885), Les Contemplations(1856) « Elle était déchaussée, elle était décoiffée » Question: Comment la rencontre amoureuse est-elle mise en scène? Introduction Présentation de l'auteur: (à développer: Victor Hugo, chef de file du romantisme, dramaturge, romancier et poète) Présentation du poème: Poème extrait des Contemplations, recueil écrit en exil, comportant deux parties: « Autrefois » et « Aujourd'hui ». La mort de Léopoldine, fille de V. Hugo, trace la frontière…. Victor hugo 2464 mots | 10 pages jeunesse de Victor HUGO: p. 2 Les Contemplations: p. 4 1er Poème: « Le Mendiant » p. 6 2nd Poème: « « Nous allions au verger cueillir des bigarreaux p. 10 Parties de poèmes: p. 13 Postface: p. 16 [pic]ictor HUGO est né un 26 février de l'année 1802.

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Elle n'est pas nommée. · Mais elle est décrite physiquement avec les participes passés « déchaussée », « décoiffée », « assise » et le GN apposé » les pieds nus ». Cette description met en relief sa beauté simple et naturelle. Le parallélisme de construction du 1er vers « Elle était déchaussée / elle était décoiffée » avec les deux adjectifs formés du même préfixe négatif « dé », placés en fin d'hémistiche et présentant des assonances en [-é] soulignent l'absence de parure et d'apprêt de la jeune fille (libération des contraintes sociales). « les pieds nus » apportent aussi une touche de sensualité. · La rencontre se déroule dans un cadre naturel, évoqué avec le champ · Les dernières images de la jeune fille insistent sur sa proximité avec la nature avec laquelle, d'ailleurs, elle se confond. Elles résument tous les éléments de son charme séducteur: sa beauté naturelle avec ses « cheveux dans les yeux », sa gaieté et son caractère libre et farouche avec les adjectifs « effarée et farouche ».

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Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis: Veux-tu, c'est le mois où l'on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds? Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive;…. commentaire de Victor Hugo - Les Contemplations ''elle était déchaussée, elle était décoiffée... " 1317 mots | 6 pages contemplations, "Elle était déchaussée, elle était décoiffée", Victor Hugo INTRODUCTION: Chef de file d'un mouvement littéraire, Victor Hugo fut un homme littéraire les plus célèbre du 19ème siècles. Ses romans tels que "Les misérables", "Notre Dame de Paris", furent autant appréciés que ses pièces de théâtre "Hernani" ou encore "Ruy Blas". Il se distingua dans un autre genre, la poésie. Le poème que nous apprêtons à analyser, intitulé, "Elle était déchaussée, elle était décoiffé", est extrait….

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Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis: Veux-tu, c'est le mois où l'on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds? Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive; Elle me regarda pour la seconde fois, Et la belle folâtre alors devint pensive. Oh! comme les oiseaux chantaient au fond des bois! Comme l'eau caressait doucement le rivage! Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts, La belle fille heureuse, effarée et sauvage, Ses cheveux dans ses yeux, et riant au travers. Mont. -l'Am., juin 183..

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II s'agit du poète. II est, comme souvent dans les poèmes de Hugo, un passant, un promeneur. Il est surtout celui qui maîtrise le regard et la parole. Il va être le seul à parler dans le texte. Les rôles sont nettement délimités: la beauté est féminine, la parole masculine. b) L'échange des regards L'échange des regards est toujours essentiel dans la scène de rencontre. On constate que ici le regard est réciproque: « je crus voir une fée », « elle me regarda », « elle me regarda pour la seconde fois », « je vis venir ». L'insistance sur le regard comme vecteur de la rencontre passe par la répétition du verbe « regarder » et le polyptote sur le verbe« voir » (v. 3; v. 14). La même allitération en -v- unit le verbe« voir » (regard), le verbe « vouloir » (désir) et le verbe « venir » (accord) et montre la rapidité de la séduction amoureuse. c) La scène d'amour La rencontre entraîne l'invitation: « Veux-tu t'en venir dans les champs? » Cette invitation ambiguë est éclairée par la périphrase (« le mois où l'on aime »), l'allusion (« les arbres profonds ») et le tutoiement amoureux (v. 4; v. 7; v. 8).

Le sujet pouvait paraître scabreux mais Hugo l'innocente. La spontanéité, l'élan, la fraîcheur de cette scène en font la pureté. Il décrit des moments intemporels, la joie de vivre, l'émotion du souvenir mais aussi du moment même. Est-ce le regret de la jeunesse et de l'insouciance perdue? C'est un regret implicite dans ce cas. Le poème est avant tout à lire comme un moment de vie et d'amour, un moment d'innocence heureuse.