Celui qui imite un peuple en fait partie - YouTube
  1. Celui qui imite un peuple en fait partie cran.r

Celui Qui Imite Un Peuple En Fait Partie Cran.R

Ibn 'Omar rapporte que: Le Prophète (Salla Allah alayhi wa salam), vit un garçon auquel on avait rasé une partie de la tête et laissé l'autre. Il interdit cette pratique en ordonnant: "Rasez-le complètement ou laissez-le [c'est à-dire: laissez ses cheveux pousser]! " (Abou Dawud, riyad as-salihin n°1639, authentifié par sheikh al Albani] Celui qui se diminue les cheveux doit le faire de la même manière pour toute la tête. Quant au fait de prendre des côtés de la tête plus que ce qu'on prend du milieu, c'est assimilable à la coiffure dite kasaa' interdite selon ce hadith rapporté par al-Boukhari (5921) et Muslim (2120) d'après Ibn Omar (radi Allahu anhum), selon lequel le Messager d'Allah (Salla Allah alayhi wa salam), a interdit le kasaa'. Naafi', l'un des rapporteurs du hadith, dit en guise d'explication de ce terme qu'il consiste à raser une partie de la tête d'un enfant et de laisser une autre partie. La recommandation est de ne pas adopter cette mode occidentale et de s'en tenir aux coutumes reçues consistant notamment pour les femmes à laisser se développer la chevelure et à les tresser.

Il en est de même du musulman qui s'assimile aux mécréants car il affiche ( à travers son comportement) que l'état du mécréant est meilleur que celui dont Allah l'a honoré et lui a donné l'ordre de maintenir. 2. Imiter un autre reflète une faiblesse psychologique, une défaite psychologique. Or la charia ne veut que les musulmans affichent un tel état, même s'il était le leur en réalité. S'avouer vaincu et l'afficher accentuent la faiblesse du faible et rend le fort plus fort, ce qui peut constituer un des plus grands handicaps au sursaut du faible et au redressement de sa trajectoire. Voilà pourquoi les raisonnables de chaque nation s'opposent à ce que leur peuple imite leur ennemi. Mieux, ils veillent à l'excellence dans la sauvegarde de leur patrimoine, de leurs traditions et de leurs tenues, même quand ils savent que ce que l'ennemi en possède est meilleur. C'est tout simplement parce qu'ils sont conscients des dimensionspsychologique, sociale, voire politique de la dépendance formelle de l'ennemi.