A l'occasion de la journée internationale de lutte contre les violences policières, les membres d'écolo j ont travaillé sur des stickers afin de sensibiliser à la question. Il se trouve que la formulation d'un des stickers envisagés dans ce cadre n'était effectivement pas la bonne. Les mots ont un sens, et la portée de ceux-ci également. Nous rappelons que notre utilisation du mot police se comprend de manière institutionnelle et ne fait pas référence aux individus. Journée internationale contre les violences policiers de. Nous regrettons donc cet épisode, et afin d'éviter tout malentendu, le sticker ne sera pas distribué. Notre objectif principal est, et reste, la mise en lumière de la réalité des violences policières et le soutien aux associations de terrain qui luttent au quotidien dans ce sens.

Journée Internationale Contre Les Violences Policières Rdv

Outre la violence typique des flics lors des manifestations – qui est bien connue des militants antifascistes et anarchistes – les gens sont confrontés quotidiennement à la brutalité policière dans ce pays en raison de la couleur de leur peau, de leur mode de vie, de leur milieu économique ou social. Journée internationale de lutte contre les violences policières. De nos jours, il est facile d'imaginer des attaques policières contre les pauvres, mais elles se produisent rarement contre les riches et les personnes influentes. En France Les combats contre les violences policières, contre les injustices sociales, contre le racisme et tellement d'autres causes font des quartiers populaires des « gilets jaunes » malgré eux. Dans ce contexte, des collectifs et des familles de victimes de crimes policiers se battent pour obtenir justice et pour que la vérité éclate sur les circonstances de la mort de leurs proches entre les mains de la police. Aux Etats Unis Aux États-Unis, au fil des ans, le pouvoir collectif du peuple, dirigé par des communautés directement touchées comme Black Lives Matter, est descendu dans la rue pour réclamer la fin de la violence policière.

Le 15 mars 2021 est pour l'association une nouvelle occasion de renouveler sa demande. Car les violences policières, si elles impliquent certes des individus, sont le fruit des doctrines de maintien de l'ordre, d'un discours politique fréquemment dans le déni de ces violences et donc tacitement dans leur acceptation, de préjugés très négatifs sur les populations des quartiers populaires et d'origine immigrée ainsi que de l'absence de mesures visant à y remédier.