« Le Journal d'un monstre » est une courte nouvelle à la frontière du fantastique et de la science-fiction. Le récit paraît pour la première fois dans la revue « The Magazine of Fantasy & Science Fiction » en 1950, sous le titre « Born of Man and Woman ». Cette nouvelle est reparue en 1977, corrigée par l'auteur. Elle est souvent prise en exemple pour le vocabulaire et le ton employés. Le récit est écrit à la première personne du singulier, il s'agit du journal d'un enfant, enfermé dans une cave car c'est un monstre.

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» La mise en scène de Florence Lavaud est sublime et l'interprétation de Karim Kadjar époustouflante. Avec la réunion de ces talents, ce voyage au cœur de l'oubli surgit comme une bombe, éclate avec fracas, s'impose avec force. On sort chamboulé, sans voix, de cette pièce tout simplement belle. Célèbre écrivain et scénariste américain, Richard Matheson est surtout connu pour ses romans l'Homme qui rétrécit, La Maison des Damnés qui ont donné au cinéma deux films devenus des classiques. Scénariste pour La Quatrième dimension mythique série télévisée, il a adapté les plus célèbres contes d'Edgard Poe. Journal d'un monstre est l'une de ses premières nouvelles de jeunesse. La compagnie du Chantier Théâtre nous avait déjà présenté, il y a deux ans Un petit chaperon rouge. Son travail a la particularité d'allier le théâtre, l'image et la musique, contraignant la parole, la subjuguant pour souvent la remplacer. Pourraient aussi vous intéresser Avis du public: Journal d'un monstre

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Mais quand les gens se disent, il y a plus malheureux que moi alors ils espèrent que tout cela est hors de leur portée, qu'ils n'arriveront jamais à ce niveau, alors ils sont déjà un peu moins malheureux, et puis quand ils sont heureux, ils se disent qu'il y a plus ou moins heureux qu'eux, souvent ils se disent qu'il y a moins heureux qu'eux alors déjà ils sont moins heureux. Je suis malheureux ou heureux mais je ne suis pas plus ou moins malheureux. Les gens qui te disent il faut relativiser ne devrait relativiser qu'une chose, leur connerie. Swan n'aime pas Tom, il vient seulement la nuit lui parler chez lui. Swan n'aime pas Tom pour toutes ces raisons mais plus particulièrement parce qu'il n'a jamais été ami avec Tom mais plutôt contraint parce qu'ils étaient voisins. Swan sait que le problème ce sont ses yeux. Il peut les percer comme Œdipe. Sera t-il moins triste? Plus triste? Swan n'aimait pas Tom. This entry was posted on juillet 1, 2009 à 7:18 and is filed under Uncategorized.

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Elle a fait des bruits que je n'avais jamais entendus. Et puis je l'ai lâchée. Elle était toute écrasée et toute rouge sur le charbon. Je suis resté caché quand maman est venue et m'a appelé. J'avais peur de la canne. Et puis elle est partie. Je suis sorti et j'ai emporté la bête. Je l'ai cachée dans mon lit et je me suis couché dessus. J'ai remis la chaîne dans le mur. X. Aujourd'hui est un autre jour. Papa a mis la chaîne très courte et je ne peux pas m'en aller du mur. J'ai mal parce qu'il m'a battu. Cette fois j'ai fait sauter la canne de ses mains et puis j'ai fait mon bruit. Il s'est sauvé loin et sa figure est devenue toute blanche. Il est parti en courant de l'endroit où je dors et il a fermé la porte à clef. Je n'aime pas. Toute la journée il y a les murs qui font froid. La chaîne met longtemps à partir. Et j'ai une très mauvaise colère pour papa et maman. Je vais leur faire voir. Je vais faire la même chose que l'autre fois. D'abord je ferai mon cri et je ferai des rires. Je courrai après les murs.

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La peste, le rayon de lumière, mes … Ses Infernos, ce qui restait de mes amis. Brulant la terre, rasant villes et habitants. Laissant derrière nous eux cendres, morts et destructions. Quand IL se réveillais je n'étais plus en contrôle. Je n'étais qu'un faible et inutile spectateur obligé de regarder toutes ces horreurs à travers ce qui était autrefois mes yeux. Je ne pouvais plus! Je n'en pouvais plus de voir le sang! Je n'en pouvais plus d'entendre les cris! J'en avais assez de voir le visage rieur de la mort chaque seconde. Alors malgré moi je me souvenais… Je me souvenais de nos nuits sous les étoiles. Razzia qui grillait son cinquième après-repas. Jadina qui tentait de trouver une façon de dormir sans abimer ses cheveux, Shimy qui tentait d'apprendre à Gryf les constellations alors qu'il racontait une blague sur leurs noms dès qu'il en avait l'occasion. Et moi qui les regardais avec un sourire. Nos voyages aux quatre coins du monde, les fêtes entre nous pour célébrer nos victoires!
Aujourd'hui maman m'a détaché un peu de la chaîne et j'ai pu aller voir dans la petite fenêtre. C'est comme ça que j'ai vu la terre boire l'eau de là Aujourd'hui là-haut était jaune. Je sais quand je le regarde mes yeux ont mal. Quand je l'ai regardé il fait rouge dans la cave. Je pense que c'était l'église. Ils s'en vont de là-haut. Ils se font avaler par la grosse machine et elle roule et elle s'en va. Derrière il y a la maman petite. Elle est bien plus petite que moi. Moi je suis très grand. C'est un secret j'ai fait partir la chaîne du mur. Je peux voir comme je veux dans la petite fenêtre. Aujourd'hui quand là-haut n'a plus été jaune j'ai mangé mon plat et j'ai aussi mangé des cafards. J'ai entendu des rires dans là-haut. J'aime savoir pourquoi il y a des rires. J'ai enlevé la chaîne du mur et je l'ai tournée autour de moi. J'ai marché sans faire de bruit jusqu'à l'escalier qui va là-haut. Il crie quand je vais dessus. Je monte en faisant glisser mes jambes parce que sur l'escalier je ne peux pas marcher.