Cinq aveugles voulaient savoir à quoi ressemblait un éléphant. Le cornac leur permit de toucher l'animal pour s'en faire une idée. « L'éléphant ressemble à un gros serpent », dit l'aveugle qui avait touché la trompe. « Non, il est semblable à un chasse-mouches », protesta celui qui tâtait l'oreille. « Allons donc, c'est un pilier. » déclara celui qui tâtait la jambe. Celui qui tenait la queue affirma: « Pas du tout, c'est une corde! » Et celui qui palpait une défense se mit à rire: « Etes- vous sots! un éléphant cela ressemble à un os! » Questions de compréhension: Chaque personnage dit quelque chose de différent sur l'éléphant. Explique pourquoi. Que faudrait-il faire pour que tous les aveugles disent la même chose? Si cela vous intéresse, voici ma fiche de travail: Les cinq aveugles et l'éléphant
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Les Cinq Aveugles Et L Elephant

Son jugement se nuance lorsqu'il descend au niveau du gouvernement fédéral – viable à long terme – et des provinces – non viables à long terme –, exception faite du Québec. Il évalue que les régimes de retraite publics sont viables, tenant compte autant de l'actif que du passif. L'analyse que le DPB a faite au début de l'été, après tous les budgets, n'est pas une prévision, mais une projection qui s'appuie sur des hypothèses raisonnables, mais limitatives. Son exercice suppose notamment que les politiques budgétaires et fiscales ne changeront pas. La démographie est facile à prévoir, mais ses hypothèses sur la croissance économique et les taux d'intérêt à long terme, quoique vraisemblables, invitent à la prudence. Oui, mais… Le « oui mais » a été analysé par l'Institut C. D. Howe, sous la plume d'Alexandre Laurin et de Don Drummond, qui ont mis en lumière la sensibilité des prévisions à de petits changements aux hypothèses retenues. Dans le scénario présenté dans le dernier budget Freeland, le ratio de la dette fédérale (ici le cumul des déficits) prendrait 34 ans pour passer des 51% de l'exercice en cours aux 30% d'avant la pandémie.

Il avait touché les pattes. – Je ne sais pas de quoi vous parlez, dit le cinquième, un éléphant est semblable à un mur qui respire. Il avait touché les flancs. – Ce n'est pas vrai, s'écria le sixième, un éléphant est pareil à une longue ficelle. Il avait touché la queue. Les six aveugles commencèrent à se disputer, chacun refusant d'écouter la description des cinq autres. Les habitants s'impatientèrent, ne sachant pas lequel disait vrai. Dérangé par le tumulte, le prince vint voir ce qui se passait. – Sire, dit un vieillard, nous avons envoyé ces hommes découvrir votre éléphant et chacun nous dit une chose différente. Nous ne savons quoi penser! Le prince écouta les six aveugles décrire à nouveau l'éléphant. Après un silence, le prince déclara: « Tous ces hommes disent juste et vrai, mais chacun n'a touché qu'une partie de l'animal, et ne connaît donc qu'une part de la vérité. Tant qu'ils penseront être les seuls à avoir raison, ils ne connaîtront pas la vérité tout entière. Les différentes couleurs du kaléidoscope ne s'unissent-elles pas pour former un seul et splendide dessin?