La nuit d'avril 1915 by lola gregoire
  1. La nuit d avril 1915 sujet brevet sur

La Nuit D Avril 1915 Sujet Brevet Sur

Un H Ros Dans La Guerre 4280 mots | 18 pages qu'on oublie — Souviens-t'en quelquefois aux instants de folie De jeunesse et d'amour et d'éclatante ardeur — Mon sang c'est la fontaine ardente du bonheur Et sois la plus heureuse étant la plus jolie Ô mon unique amour et ma grande folie 30 janvier 1915, Nîmes. J'écris tout seul… Mon cœur j'ai regardé longtemps ce soir Devant l'écluse L'étoile ô Lou qui fait mon désespoir Mais qui m'amuse Ô ma tristesse et mon ardeur Lou mon amour Les jours s'écoulent Les nuits s'en vont comme s'en va le jour…. Les femmes et la guerre dans l'oeuvre d'apollinaire 24560 mots | 99 pages quand celle-ci s'occupe de l'événement, et c'est précisément ce rapport de l'art littéraire au tragique de l'Histoire qui nous intéresse dans ce présent travail. 1. « La Nuit d`avril 1915. Comment est représenté l'Arrière de la première guerre mondiale dans les œuvres d'Apollinaire, Queneau et Radiguet? Nous tenterons de répondre à cette interrogation en nous demandant: Comment l'Arrière a-t-il réagit face à cette guerre qui, en l'espace de quelques jours, a drainé des millions d´hommes loin de leur famille et de leur….

7), une étoile porte son nom et regarde le poète avec tendresse (l. 10- 11). Le poète rêve que « la voix d'un ptit Loup » pourrait se substituer à celle des obus. Le nom de la femme aimée est aussi source d'inspiration et préside aux métamorphoses de la femme en étoile (l. 11-12) puis en « ptit loup » (l. 17). Faut-il enfin voir une marque de la présence de Lou dans certaines allitérations et assonances: « lueur tremblante d'un bout de bougie » (l. 3)? II. Nuit d'avril 1915 d'Apollinaire - 464 Mots | Etudier. Une vision merveilleuse de la guerre 1. La guerre est un spectacle Malgré le danger, Apollinaire se montre sensible au spectacle de la guerre. On pense au vers célèbre: « Ah Dieu! que la guerre est jolie » (« L'adieu du cavalier », Calligrammes). Les réseaux lexicaux de la vue et de l'ouïe sont très présents: « je l'entends » (l. 5), « je vois » (l. 8). Bruits et lumières sont délicatement caractérisés: « On dirait que le diable fait moudre... » (l. 5), « miaulent » (l. 6), « lueur tremblante » (l. 3), « maintenant le ciel est clair » (l.