Sujet: Au sujet de la Discipline Domestique... (Lu 2299 fois) 0 Membres et 2 Invités sur ce sujet Mesdames et les autres... Je me demande quelle "punition" messieurs ont-ils déjà subie à cause de leur désobéissance envers une dame... - Qu'avait fait ou omit de faire? - Et quel fut le moyen utilisé pour "corriger" la faute? - Et surtout, est-ce que ce moyen fut efficace sur le moyen ou long terme pour éviter la répétition de la faute? Les commentaires de toutes et de tous sont les bienvenues! PerleRare Je suis sentimentale et je l'assume... Un peu de tenue mais pas trop (scène de la vie domestique) – Déculottées.fr. avec quelques épines au besoin! Mesdames et les autres... - Qu'avait fait ou omit de faire? - Et quel fut le moyen utilisé pour "corriger" la faute? - Et surtout, est-ce que ce moyen fut efficace sur le moyen ou long terme pour éviter la répétition de la faute? Les commentaires de toutes et de tous sont les bienvenues! PerleRare Les punitions peuvent être psychologiques, économiques, financières, etc.! - +1 jour d'encagement; - report d'un achat pour monsieur; - etc.

La Fessee Domestique

avec soulagement Vous m'êtes à présent on ne peut plus désirable, et attendre nos noces n'est qu'une souffrance sans nom… oh ma Constance… Oh mon Jean… Il la prend dans ses bras et ils s'embrassent fougueusement. La bonne s'éclipse le sourire aux lèvres, et va rejoindre les autres domestiques pour tout leur raconter. Peu de temps après le jeune couple va rejoindre les convives qui s'avèrent avoir tout entendu et font quelques moqueries à l'attention de la demoiselle, qui reste honteuse et silencieuse.

La violence exercée sur autrui dans le but de dresser, d'éduquer, de corriger ou de punir englobe des pratiques très anciennes (coups, fouet, privations, enfermement) et d'autres plus caractéristiques d'une époque, comme le bonnet d'âne dans l'école de la Troisième République. Certaines, comme la gifle et la fessée, semblent si banales qu'on ne les perçoit pas d'emblée comme des objets d'histoire. La fessée de la demoiselle. Jusqu'à ces dernières décennies, cette violence infligée dans le cadre de la maisonnée, distincte et complémentaire de la violence de l'État, n'était contestée que lorsqu'elle était manifestement excessive. Le « droit de correction » était considéré comme un pilier de l'ordre social, exprimant l'autorité des parents sur leur enfant, du mari sur sa femme, du maître sur son élève, son apprenti ou son esclave. À travers 248 exemples tirés de l'histoire, de l'art, du droit, de la littérature ou du cinéma, ce dictionnaire propose une plongée dans l'histoire du droit de correction de l'Antiquité à nos jours.