Hugo change donc son destinataire. Après s'être adressé à Juliette, il engage maintenant une discussion avec cette fleur. Il la cueille délicatement afin de l'immortaliser, puis lui présente son futur. Le sort de cette fleur est scellé et il ne lui reste plus qu'à être emporté par les vents et les flots vers de nouveaux horizons. Hugo, pour renforcer son argumentation, expose l'idée du destin auquel on ne peut rien changer. Chaque être doit à un moment ou à un autre quitter la terre et mourir « Le ciel, qui te créa pour t'effeuiller dans l'onde, te fit pour l'océan ». Étude du poème Vere novo dans le livre Aurore de Victor Hugo - Dissertation - dissertation. Il rappelle pour cela le sein maternel qui symbolise la naissance d'un enfant « Fane-toi sur ce sein en qui palpite le monde ». Hugo lui conseille donc de mourir sur quelque chose de vivant grâce à des personnifications le la nature « sein, cœur » plutôt que de rester seule dans ce monde hostile. La phrase « Je te donne à l'amour » confirme cette idée. L'on peut se demander si cette fleur ne peut pas être également un reflet de Victor Hugo, mais le personnage cette fois-ci.

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Les oiseaux dans les bois, molles voix étouffées, Chantent des triolets et des rondeaux aux fées; Tout semble confier à l'ombre un doux secret; Tout aime, et tout l'avoue à voix basse; on dirait Qu'au nord, au sud brûlant, au couchant, à l'aurore, La haie en fleur, le lierre et la source sonore, Les monts, les champs, les lacs et les chênes mouvants Répètent un quatrain fait par les quatre vents. Saint-Germain, 1 er mai 18..,

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[... ] [... ] Et moi, je me rappelle et toi, tu te souviens. Premier mai victor hugo analyse graphique. Eblouis, nous chantions: - C'est nous-mêmes qui sommes Tout ce qui semblait, sur la terre des hommes Bon, juste, grand, sublime, ineffable et charmant; Nous sommes le regard et le rayonnement; Le sourire de l'aube et l'odeur de la rose, C'est nous; l'astre est le nid où notre aile se pose; Nous avons l'infini pour sphère et pour milieu, L'éternité pour âge et notre amour, c'est Dieu. ] oui, nous étions morts jusqu'à: l'astre est le nid ou notre aile se repose L'amour dualiste se fond dans l'amour unitaire de Dieu, les deux derniers vers. Explication proprement dite Le doux songe: deux premiers vers qui constituent comme une introduction; il y a une diérèse au premier vers: Si les liens du cœur ne sont pas des mensonges liens doit se lire, li ens, en deux syllabes. La voix de la femme aimée: Quatrième vers jusqu'à reste. Rythme de ce vers et du suivant: et 3-3 6. ] Ce poème prend sa place dans le Livre 2 que l'auteur classe dans la partie Autrefois période de félicité pour lui et où son égérie, de son vrai nom Julienne Gauvin; elle a été pendant 50 ans sa maitresse; amoureuse douce et résignée, elle a abandonné sa carrière de comédienne pour se consacrer à son amant jaloux et possessif qui lui interdisait de sortir sans qu'elle ne soit accompagnée par lui.

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« A propos d'Horace « est un poème écrit en alexandrins où l'auteur évoque ses souvenirs de collège. Il est extrait des Contemplations. Il a été rédigé par Victor Hugo, un grand écrivain de la littérature française, en 1856. D'Erasme au XVIème siècle jusqu'à Victor Hugo au XIXème siècle, on se demande quelle est la meilleur méthode d'apprentissage. C'est pourquoi ce poème est au service d'une dénonciation d'une forme d'enseignement en faisant appel à l'imaginaire. Ce poème fait aussi partie du registre lyrique et polémique. Il y oppose l'école existante à une école idéale en mettant l'éducation en relation avec la société. Premier mai – Victor Hugo | LaPoésie.org. L'école existante est largement critiquée par Victor Hugo. Nous le voyons ici tout d'abord, avec le vocabulaire du poème: « cuistre «, vers 19, qui est un mot péjoratif servant à désigner quelqu'un qui fait étalage de ses connaissances mal acquises. « pédant « vers 27, est un adjectif qualifiant une personne prétentieuse (qui fait étalage de ses connaissances). Par ailleurs, Hugo utilise un lexique où l'école fait penser à une prison: « sous le fouet «, vers 19, « ombre «, vers 26, et « obscur «, vers 35 soulignant le manque de liberté de l'enfant.
Il créé une sorte d'utopie autour de son enseignement idéal où le plaisir est associé au savoir et où la nature est associé aux livres. (« le lourd cheval poussif du pensum embourbé «).